Camp canyon dans l’Ain

Mercredi 29 mai, il est pratiquement 19h, quand Oli, CaroT et Amaury démarrent du local avec le minibus, après avoir préparé le matos et fait des courses. A Arlon, nous retrouvons Sylvain et Yves G. qui embarquent avec nous en direction du Pays de Gex. Nous débarquons à Collonges, chez Cécile et Jérôme vers 4h du matin. Nous y sommes accueillis avec des matelas à disposition de tout le monde et un verre de Chartreuse.

Jeudi 30 mai :

Apres quelques petites heures de sommeil, Arnaud D. qui était en Corrèze, nous rejoint et nous planifions l’organisation des prochains jours. Après cette courte nuit, nous choisissons un canyon assez court et pas trop éloigné. Ce sera le canyon des cascades de la Sandezanne. La marche d’approche débute au pont des Pierres qui offre un magnifique panorama la vallée de la Valserine. Il y a assez peu d’indications mais après 15 minutes de marche d’approche nous trouvons tout de même le début du canyon. Nous finissons de nous équiper quand la tirette de la néoprène d’Oli rend l’âme. Ce qui va être un peu problématique pour la suite. La descente dure normalement 1h15-1h30 mais comme nous sommes 8, nous y restons plutôt 2-3h. Le canyon se termine par les deux impressionnantes cascades de travertin, une C25 et une C45.  Après ces belles descentes, nous retournons dans notre gîte 4 étoiles, profiter de l’apéro et de la bolo préparée la veille par Jérôme.

Vendredi 31 mai :

Après avoir quitté la demeure de Jérôme et Cécile, nous décidons de faire quelques courses… la question fondamentale concernant le panaché s’est réglée sur le parking du supermarché où Cécile décide d’y retourner pour en acheter ! Nous nous dirigeons donc vers le canyon du Groin. Après avoir co-voituré notre copain Bjorn, nous nous équipons à l’entrée du canyon et le départ se fait vers 13h par un rappel de 6 mètres. On continue dans une zone assez engagée, très verticale et très encaissée, dans une ambiance particulière au jeu de lumière intéressant. Nous passons un siphon et après une longue partie de nage, nous finissons le canyon par de belles cascades. Nous nous mettons en quête d’un site pour bivouaquer et après 3 endroits décevants, nous décidons d’aller directement au parking de la cascade de Cerveyrieu, (programme de demain). On finit la journée par un excellent taboulé assaisonné par la récolte de CaroT.

Samedi 01 juin :

9h00, les premières tentes commencent à s’ouvrir, le gros des troupes se réveille, le soleil brille, la fricassée crépite sur le bec à gaz et le doux crachotti des cafetières italiennes annonce un très bon début de journée. Après ce copieux petit déjeuner, nous replions rapidement notre bivouac et organisons la suite de la journée à savoir la descente des gorges du Seran. Ce canyon se découpe en 3 parties (Gorges du Pont à Favre, Gorges de Thurignin et Cascade de Cerveyrieu). Les 2 premières zones comportent très peu de corde (en réalité, nous n’avons pas du tout eu besoin de cordes mais dans le doute…). La dernière nécessite 2C60 (cascade de Cerveyrieu – 60m). Notre bivouac ayant été posé au-dessus de cette cascade, nous prendrons les C60 en arrivant au parking ! De plus, Yves préférant ne pas faire ce canyon, il nous servira de conducteur pour les navettes.

L’organisation étant ficelée, nous embarquons tous dans le minibus pour remonter à l’amont des gorges. Sur le chemin, nous nous apercevons que les topoguides ne sont pas des plus explicites si bien que nous cherchons, marchons, avançons, reculons,… Pour finalement tomber sur un chemin assez prometteur. Tellement prometteur que nous ratons le début du canyon (nous nous en apercevrons bien plus tard) ! Ainsi, nous marchons un long moment le long du cours d’eau pour finalement arriver sur une zone plus encaissée. Ni une, ni deux, nous enfilons le dessus de nos combis et nous mettons à l’eau. Quelques ressauts plus tard, la zone encaissée s’arrête. C’est reparti pour 15-20 min de marche aquatique. Une fois dans la 2ème partie (Thurignin), nous nous apercevons que nous avons raté la 1ère zone. Ce sera pour une autre fois ! Thurignin ne présente aucune difficulté. Quelques ressauts, un petit pas d’escalade, un peu de nage. Mais joli avec un rayon de soleil !

La suite est à nouveau composée de beaucoup de marche (20-30min) pour enfin arriver à la plus belle partie du canyon : la Cascade de 60m. Certains membres bien attentionnés avaient, le matin même, déposé quelques panachés dans le lit de la rivière. Après une telle marche en néoprène sous le soleil, ils ont été appréciés. 3 fromages, 1 saucisson et 2 baguettes plus tard, nous entamons la suite de la descente. 2 cascades de 5m précèdent le grand rappel. Et quel rappel. L’encaissement à cet endroit est tel qu’en se rapprochant du sommet, on a l’impression de passer par la fenêtre d’une maison. Ça en impressionnera plus d’un.

1h plus tard, nous nous retrouvons tous en bas, les cordes rangées, prêts à rejoindre notre chauffeur préféré (c’est lui qui a les bières !). Yves nous retrouve assez rapidement. La journée n’étant pas si entamée, nous décidons d’aller voir la source du Groin. Chose faite, nous reprenons la route vers l’appart’ de Cécile et Jérôme ou nous y prendrons notre dernier long apéro, soupé, café, pousse café, re pousse café, rere pousse café et enfin dodo !

Dimanche 02 juin :

Après une bonne nuit de sommeil, nous nous réveillons les uns après les autres. Oli et Sylvain ont été cherché le petit déjeuner. Pas de temps à perdre aujourd’hui car nous avons du pain sur la planche ! Moins d’une heure après notre réveil, nous commençons à ranger nos affaires, trier le matos et charger les véhicules. Tout roule à la perfection si bien que nous avons le temps de faire un dernier petit canyon avant de prendre le chemin du retour. Le choix était fait dès le 1er jour. Ce sera le canyon de la Sémine (partie aval). 30 minutes de route plus tard, nous y sommes. Nous nous équipons et c’est partit pour 2-3 heures de descente. L’engagement de ce canyon est bien moindre que celui des jours précédents. Mais qu’est-ce qu’il est beau ! Après quelques minutes de marche, de nage et quelques glissades (les cailloux sont très glissants ici), nous croisons un guide et ses 2 sujets qui entrent dans le canyon par un beau rappel tiré depuis le sommet d’un viaduc (environ 35m). Nous y penserons pour la prochaine fois ! La suite de la descente étant assez simple, nous progressons assez vite pour tomber sur un 1er saut (3m). Une fois sondé, tout le monde y passe. 15-20 minutes plus tard, nous arrivons sur une cascade de 6-7m. La topographie des lieux nous laisse penser que ça se saute mais dans le doute, nous y installons une corde. Sur le temps de la réflexion et de l’équipement, les 3 gaillards que nous avions croisés au début nous rattrapent. Ils nous dépassent en rive gauche et sautent ! Il n’en faudra pas moins pour que nous fassions de même. Et heureusement car ce saut nous mettra en condition pour le suivant. Nous arrivons très rapidement à la fin du canyon, au-dessus d’une C10 et y retrouvons notre guide français. Il nous indique où sauter. Pas besoin de réfléchir, nous y allons. Et waouw, 10m de saut, ça parait long une fois lancé ! La manœuvre terminée, nous entamons la marche de retour. Nous arrivons aux véhicules vers 12h30, en profitons pour dîner, puis entamons la route du retour. Nous disons au-revoir à Cécile et Jérôme car leur route de retour est plus courte que la nôtre !

Quelques kilomètres, quelques bouchons et quelques heures plus tard, nous nous retrouvons à Arlon pour une Maxi-Frite. Les derniers adieux se feront là-bas. Pour Sylvain, Yves et Arnaud, se sera retour maison. Pour Oli, Amaury et Caro, il y aura un arrêt supplémentaire nettoyage camionnette.

Merci Cécile et Jérôme de nous avoir accueillis dans votre logement !

CaroT, Amaury, Arnaud et Sylvain

Participants: CaroT, Sylvain, Amaury, Arnaud, Olivier, Jérôme, Cécile, Yves (GSCT)

Photos: Sylvain 

Du pouding(ue) !

Ce 25 mai 2019 nous voilà parti à la découverte du ‘’pouding’’ de Malmedy !

Invités par notre ami du C7 Robert Teck (alias Bobo) pour découvrir les grottes de la région de Malmedy , nous nous retrouvons ce samedi matin avec une petite équipe qui se constitue de Robert, Thomas, Pascal, Débo et Pauline qui nous rejoint à la première visite. L’objectif de la journée est de visiter le Trou du Géographe, mais vu que Débo n’est jamais venue dans la région, Robert décide de « promener Débo » avant. Nous nous équipons aux voitures et commençons la visite par le Trou « Altitude 465 » (le trou le plus haut de Belgique semblerait-il). Robert nous explique que ce trou est toujours en explo, et nous découvrons pour la première fois la particularité du poudingue de Malmedy. Nous descendons une échelle et arrivons dans un passage étroit. Robert à bien envie de faire une petite désob, mais ce sera pour la prochaine fois, Thomas doit partir tôt.

Après une pause casse-croûte, Robert nous emmène au Trou du Chien (qui tient son nom à cause d’un chien de chasseur qui est tombé dedans). Nous utilisons une corde pour nous aider à descendre, une fois au fond Bobo nous explique la particularité et l’histoire de ce trou qui a été rebouché. Chacun de nous trouvera un crapaud et une grenouille (Robert essayera de faire apparaître une princesse, mais nous sommes déçus de voir que ça ne fonctionne pas 😉 ). Robert décide de les sauver et les remonte à la surface dans sa poche.

Une fois remonté, nous retournons au Trou du Géographe (le géographe c’est Pascal ) ou l’on était passé au début pour déposer nos baudriers et des seaux. Nous entrons dans le trou et faisons la connaissance de ses habitantes (de grosses araignées). Robert commence à désober l’entrée pour pouvoir passer, après avoir remonté une vingtaine de seaux, nous arrivons sur un puits d’une dizaine de mètre. Le trou est beau, le poudingue à un aspect très particulier, nous passons par la « Bouche à concrétion » (passage préféré de Pascal où les concrétions ont la forme d’une bouche aux dents pointues) et nous arrivons sur une jolie cascade de concrétion qui laisse penser à de grosses meringues (il y a même une concrétion entièrement blanche ce qui est rare dans le poudingue qui a des teintes ocre). Pauline et Debo explorent les étroitures avant de remonter et apprennent qu’elles sont les premières filles à visiter ce trou !

Après notre visite nous rejoignons les voitures pour nous déséquiper et allons manger une gaufre bien méritée en terrasse pour clôturer cette super journée.

Débo

TPST: 2-3h/grotte

Participants: Débo (RCAE) et Robert, Thomas, Pascal et Pauline (C7)

Un furet au lieu d’une source !

C’est la Galerie des Sources que nous décidons d’explorer aujourd’hui car certains d’entre nous ne l’ont jamais faite. Nous nous retrouvons donc à 10h au local et préparons le matériel grâce aux souvenirs de Sylvain. Après avoir tout préparé, nous manquons d’oublier la clé UBS et c’est en allant la chercher que nous nous rendons compte qu’elle n’est pas à sa place ! Commence alors une série d’appel téléphonique pour essayer de joindre les personnes susceptible d’en avoir une. Nous changeons donc de plan et dressons la liste des cavités sans porte !

Pour éviter de refaire encore une énième fois Wuinant ou Chawresse, Charlotte pense au Trou des Furets, ce qui ravi Antoine qui voulait la faire depuis longtemps. Nous prévenons Sylvain qui a du coup un peu plus de route à faire et nous l’attendons chez Charlotte. Entre-temps, nous allons repérer les lieux pour être sûrs qu’il n’y a vraiment pas de porte ! Grâce aux souvenirs d’Antoine, nous la trouvons facilement. Il est 12h30 quand Sissy arrive et nous improvisons un pique-nique sur la table du salon. Charlotte en profite pour chercher la topo, l’imprimer et la plastifier. Nous prenons enfin la route pour Dolembreux et après un énième selfie de Sylvain (nous avons créé un monstre !), nous rentrons enfin dans la grotte à 14h, où Laurent se rend compte que Charlotte a oublié la topo !

Après avoir désescaladé facilement les ressauts sous une pluie de feuilles et de cailloux, nous arrivons au-dessus du puits de la Hache, d’environ 10 mètres. Charlotte équipe en oubliant de placer la déviation et doit remonter ! Arrivés en bas, nous nous apprêtons à franchir le tant redoutable passage avec la chaîne. La seule fois où Charlotte était venue 4 ans auparavant, elle avait glissé dans le fond et était restée coincée comme une fourmi dans un verre ! Expérience faisant, elle passe sans aucun problème et attends Antoine qui se bloque avec son croll ! Toute la troupe passe chacun à sa manière sans grande difficulté et nous montons une petite escalade de 5 à 10 m, puis passons le Cloaque, une étroiture plus sévère. Nous arrivons dans une petite salle où se trouve un ressaut descendant, celui-là même qui nous avait fait demi-tour à notre dernière venue. En ayant retenue la leçon, nous avions apporter une corde que Charlotte installe comme elle peut pour descendre les 3m en se rendant compte que vue du bas, il y a plein de prises et donc la possibilité de passer en escalade. On arrive dans une salle où les traces de passage sont abondantes et la glaise se fait collante. En cherchant la suite, Charlotte et Antoine se retrouvent dans un petit boyau, pendant que les autres trouvent le passage. Ils s’en sortent tant bien que mal et rejoignent les autres dans une suite descendante pour arriver à un ressaut comme Charlotte les déteste. Plus impressionnant que prévu et à l’aide des copains, elle rejoint les autres pour continuer la recherche de la rivière que nous trouvons très rapidement. Nous arrivons au bout dans la salle, dite cheminée Bocal, faisons quelques photos de groupe et décidons de faire demi-tour. La remontée se passe assez rapidement et la corde est en fin de compte bien utile pour l’escalade du ressaut où Amaury, qui a décidé de ne pas l’utiliser, éprouve quelques difficultés ! Retour à la chaîne beaucoup plus facile à passer en descendant, nous arrivons en bas du puits dans lequel Sylvain a peur de la « lame castratrice » qu’il a ainsi gentiment nommé ! Laurent et Amaury déséquipent et nous ressortons vers 17h15. Nous retrouvons la topo sur le siège arrière de la voiture et constatons qu’il y avait la galerie des fistuleuses un peu après la salle où nous nous sommes arrêtés. Nous sommes un peu surpris car nous n’avions pas trouvé réellement de suite, il faudra donc bien y retourner!

Après quelques petites péripéties, nous nous retrouvons au local où Sylvain met tout son coeur à nettoyer le matériel !

Charlotte

Participants: Sylvain, Amaury, Laurent, Antoine, Charlotte

TPST: env 3h

Photos: Sylvain

 

Formation Prévention et Auto-Secours en Spéléo, Canyon, Via Ferrata & autres activités de plein air

Initialement prévue comme formation interne au club, puis à la demande d’un des intervenants extérieurs ouverte aux membres de son club, ensuite programmée comme formation fédérale, enfin proposées à la Section RCAE Escalade et aux diverses Sections du CAB, le moins qu’on puisse dire est que la genèse de cette activité fut mouvementée ! d’autant qu’entre temps l’interclubs spéléo-canyon aux Baléares était venu chevaucher le WE réservé !

Mais soit ! le jour dit l’ensemble des quatre participants se pressait -ou pas- aux portes du local où se sont succédés Jacques, Kike & Olivier pour aborder les différentes matières prévues pour le samedi matin : analyse des risques, raccourcis qui tuent et défaillances humaines, Force-choc et facteurs de chute, syndrome de suspension, réactions à un incident/accident, spéléoponcho & point-chaud, etc. Après une telle matinée la pause de midi a été l’occasion de souffler et de s’ébrouer qq peu ! L’après-midi fut plus active puisque chacun -ou presque- ayant enfilé son harnais, le mur du Blanc Gravier fut rapidement équipé afin de travailler en ateliers techniques de réchappe, d’assurage, de levage et de dégagement.

Le lendemain les quatre candidats étaient devenus cinq grâce au renfort de Deb’O à peine rentrée des Baléares, et Jacques était remplacé par Steph qui embraya directement sur la seconde partie des réactions face à un accident : fiche-bilan, alerte aux secours (tant spéléo que montagne, en considérant la situation dans la plupart des pays européens) et pathologies spécifiques aux diverses activités et milieux considérés (le genre de présentation qui vous pousserait -presque- à vous réorienter vers la broderie ou le modélisme ;- ) La pause de midi fut de nouveau l’occasion de souffler, avant de sauter comme la veille dans les harnais pour compléter/peaufiner les diverses techniques. Enfin retour en salle pour petit point biblio -sur papier ou en ligne- et en guise de conclusion quelques mots sur la prévention, l’organisation d’une activité. Un petit débriefing et chacun put se dire au revoir et renter chez lui. Une activité à reprogrammer, en choisissant un peu mieux la date et en insistant un peu plus sur la promotion !

Participants : Yu, Amaury + Deb’O (RCAE) ; Stéfan (GSESM) et Celui-dont-le-nom-ne-doit-être-prononcé-en-vain (SSN)

Cadres : Stéphane Palmaert (ComForm & SSBC), Jaques Delmotte (ComCanyon & ESB), Kike, ArnaudS & Oli (RCAE)

Geocaching à la grotte de l’Epervier

Kike me propose pour mon plus grand plaisir, de faire la grotte de l’Epervier. Grotte qu’il ne connait pas et dont la cache qui s’y trouve me fait de l’œil depuis un moment. Gil ne travaillant pas loin servira de contact. On se gare au domaine de Palogne car la carte nous propose un chemin traversant les voies du chemin de fer. On va faire 4 fois le chemin avant de se rendre à l’évidence, on ne pourra pas passer par là, le chemin n’existe plus…
On remonte dans la voiture avant de nous garer de l’autre coté des voies.
Nous allons bien galérer dans la marche d’approche en prenant le mauvais chemin… Ma faute, oups ^^’’

Etant passé par le ravin, on découvrira un superbe endroit que le club ne connaissait pas 🙂
On va trouver ce qui doit être l’entrée n°2 avant d’arriver à la n°1 que l’on va prendre pour la 3 en se disant que les confrères ont bien bossé…
Toute la grotte va être fouillée avant de finalement nous engager dans le couloir où dorment la cache et ses nombreuses gardiennes.
Kike trouvant le couloir trop boueux me laissera chercher une 15aine de minute avant que je ne lui demande son aide. Je lui fais remarquer un détail comique et il me dit de chercher à cet endroit. Je lui réponds en prenant la cache en main : « bin non il n’y a rien… ah… si… mais pourquoi tu n’es pas venu plus tôt ??? »
Une bien belle petite grotte qui a du potentiel donc bon courage aux copains pour la désob’ !
Par contre, la topo trouvée sur le site du geocaching n’a plus rien avoir avec ce qu’est devenu la grotte !

Une fois de retour près de Gil, j’irai faire trempette dans l’eau en sous-combi avant d’aller boire un verre et manger un bout !

Yulrike

TPST: 2h

Participants: Enrique et Yu