Cette journée fut marquée par la visite du Nou Maulin pour les nouveaux. Maé, Maud, Erwann, Bastien, Lou, Karelle, Cyril et Amaury entrèrent dans la grotte par les tonneaux. Assez rapidement, Maé s’est rendu compte que les protèges genoux c’est quand même vachement bien en spéléo. Pendant ce temps-là, Maud s’est rendu compte à son tour que 17 couches en grotte ne sont pas forcément utiles! Après l’équipement de base dans la galerie supérieure réalisé par Amaury, ils arrivèrent tous ensemble dans la salle du Bivouac. Descente très sympa mais boueuse . De là, ils partirent voir le roulement à billes, qui en contradiction par rapport à ce que nous avions entendu, passait. Le plan n’était pas de le prendre donc ils firent demi-tour. Ils se dirigèrent alors vers le Gruyère qui porte bien son nom. Après quelques passages serrés qui les menèrent enfin vers la Grande Salle, ils remontèrent vers le Souffleur qui sera leur première sortie.

Pendant ce temps-là, Lio et Oli équipèrent la cheminée Saucisse afin de faire un peu de corde marrante pour que les nouveaux s’amusent un peu. Pendant ce temps, après une courte rando, Stéphane retrouva Lio et Oli en train de faire une sieste en attendant nos amis toujours sous terre. Stéphane décida alors de faire un allez retour dans la cheminée Saucisse pour faire un peu de corde sur la journée.

Après la sortie par le Souffleur, le groupe arriva au sommet de la cheminée Saucisse. Olivier et Stéphane les ont rejoint afin d’encadrer tout le monde durant la descente. Une fois tout le monde descendu dans le porche d’entrée, Stéphane remonta de nouveau la cheminée Saucisse accompagné par Erwann, Maud et Olivier pour déséquiper. Pendant ce temps-là, Amaury a récupérer les quelques cordes du passage supérieur en prenant soin de mettre une corde dans les tonneaux pour faciliter la remontée.

Participants : Maé, Maud, Amaury, Erwann, Cyril, Olivier, Lionel, Bastien, Lou, Karelle et Stéphane

TPST : ±6H

Stéphane

Le stage d’initiation marque la rentrée de ULiège Sport. Cette année, nous accueillons 11 stagiaires pour une découverte du milieu souterrain. Et surtout, 7 femmes!! Qui a dit que la spéléologie était un sport masculin?

Sans Solenn, Gil et Charlotte, les grands habitués, ce weekend diffèrent des autres années, mais heureusement, on peut compter sur l’adaptabilité des membres. Cette découverte commence dès le samedi matin dans la célèbre grotte-école Ste-Anne où les premières explications géologiques sont abordées, comme la créations de grottes et le pouvoir de l’eau. Amaury, Stéphane, Cyril et Faustine guident les initiés au delà de la boite aux lettres.

L’après-midi est consacré à l’initiation aux techniques de progression sur corde à la Roche-aux-Corneilles. Les plus anciens supervisent, les moins goutent aux plaisirs du contre-assurage ! En soirée, nous faisons découvrir à nos petits nouveaux le super gite du SpéléoLux, situé près de Marche, au milieu des bois. Hélas, Jonathan, un des nouveau arrivant ne voit pas l’ancien lit de la rivière et tombe dans le fossé en faisant les allés retour à la camionnette. Le bras cassé, il est transporté à l’hôpital où il subira une opération dans la nuit.

Pour les autres, nous faisons découvrir à nos petits nouveaux le super gite du SpéléoLux, situé près de Marche, au milieu des bois. La soirée est rythmée par la tradition : le traditionnel Chili, la traditionnelle présentation du club et les traditionnels tours de table. Mais voilà, cette année, il y a de la triche dans l’air! Le gite a été rénové et le nouveau poêle chauffe! Ils ont même réussi à faire sécher leurs affaires! Un vent de modernisme souffle sur nous… manquerait plus que ca capte!

Le dimanche est consacré à mettre en pratique ce que les survivants ont appris la veille. Pour cela, direction l’Haquin, l’Eglise et l’Abîme de Lesves. Fred et Amaury équiperont l’Eglise déséquipé par Lionel pour les plafonds. Karelle, Gisèle et Lou suivront. Pour l’Haquin, c’est Kiké, Cyril et benjamin avec Bastien et Héloïse. Pour l’abîme de Lesves, avec Olivier, Arnaud, Laurent, Naima, Stéphane, Faustine, Gaelle, Maud, Maé et Erwann.

Participants:  Cadres: Olivier, Enrique, Gil, Charlotte, Amaury, Laurent, DédA, Faustine, Naima, Benjamin, Fred, Lionnel, Stéphane, Cyril

Stagiaires: Gaelle, Karelle, Jonathan, Bastien, Maud, Maé, Gisèle, Héloïse, Lou, Erwan, Gaëtan

Photos: Maud et Amaury

Dimanche: canyon Le furon, partie basse, à Sassenage

Lundi: canyon Le Versoud

Mardi/Mercredi: le Berger

Jeudi: canyon les moules marinières

Vendredi: canyons Le malin et Ecouges partie 2

Samedi: canyon l’infernet

Participants : Olivier, Amaury, Naima, DébA, Maxime, Ophélie, Anthony, Lionel, Fred, Gaelle, Benjamin, Stéphane, Cyril

Le 5 novembre dernier, la CWEPSS a présenté les premiers résultats de l’étude Epukarst. La présentation se concentrait sur le Vallon des Chantoires et le travail réalisé par le RCAE sous la houlette d’Amaury. Par malchance, Amaury n’avait pas venir. Mais cette fois-ci Amaury est bel et bien présent malgré une nuit chargée.

Cette fois-ci, les autres sites étaient à l’honneur et en particulier le Vallon des Lesves. Cela fut l’occasion de présenter la suite des résultats et des surprises. Contrairement à ce qui initialement attendu, la pollution en nitrates ne baisse pas lors du passage sous terre. Et les recherches sur les percolations et les gours, montrent même une augmentation du taux en nitrates. la CWEPSS a eu encore d’autres surprises de ce genre.

Après la théorie, place à la pratique avec une balade du vallon. La balade va de doline en effondrements (d’autres dolines en somme). Le trajet nous conduit aussi à une nouvelle doline qui menace la route juste à côté. Ou les étangs qui alimentaient dans le passé un moulin dans une doline.

Pour se remettre de nos émotions, nous terminons par un verre de l’amitié. C’est ce moment que choisissent Abel et Loran pour nous rejoindre.

Participants: Olivier, Amaury, Francois, DébA et Laurent

François²

C’est le lendemain de l’apocalypse liégeoise que nous nous retrouvons tous sous la neige au local, avec un Sylvain surpris venant tout droit de son ile paradisiaque de Wellin-hiti-! La grotte des Manants avec sa belle rivière souterraine est une incontournable du mois de janvier. Nous décidons donc de la faire sur 2 jours pour avoir le plus de membres possible. Arrivée au parking, l’arbre tombé au milieu du chemin annonce la couleur de la journée. Nous empruntons la pente enneigée  en glissade et trouvons très facilement l’entrée. 

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Grande classique belge…uniquement faite par le RCAE, le trou des furets partage les avis! Superbe grotte pour Anthony, P*** de grotte de m**** sa mère la p*** pour Benjamin! L’aventure commence quand Yu annonce qu’elle a régressé depuis la dernière fois. On traverse la jungle de ronces qui tapisse le fond de la doline pour tenter de trouver l’entrée. Celle ci est étroite et donne directement sur une désescalade de 3m. On passe l’éboulis et on arrive au dessus du puits de la hache. Charlotte l’équipe, tout le monde le descend avant d’affronter le cloaque (ou le légendaire passage de la chaine!), une étroiture remontante, qui se passe relativement bien. S’ensuit d’une escalade puis d’une étroiture qui ne laissera pas indifférente. Dans la suite, se trouvent 2 désescalades faisables mais aveugles. Charlotte étant habituée des lieux apportent toujours 2 cordes pour faciliter leur descente mais surtout leur remontée! Encore une étroiture en L, et nous voici dans la dernière salle, à la base d’une grande cheminée. Nous ne feront pas la dernière escalade pour la dernière galerie car la remontée s’annoncent sport! Anthony déséquipe et Benjamin le grand coincera a différents endroit et sera hissé par Yu. Le cloaque ne se fera pas aussi facilement qu’à l’allée et nous sortons vers 20h, avec la fierté en prime. Quand je dis qu’il faut la faire cette grotte!

Ps: Yu, tu régresses quand tu veux!

Participants: Charlotte, Anthony, Lionel, Benjamin et Yu

TPST: 4h30

Photos: Yu et Charlotte

La dernière cavité belge de la saison n’attire pas grand monde. En effet, le trou manto est l’oubliée des grottes classiques de Belgique… peut-être de par sa position et également de par sa réputation dit étroite. Celle-ci est plus causée par sa copine Saint-Étienne. Que cela ne tienne Charlotte, sans chaussures, ne se rappelle plus du tout de ces cavités et Déborah, Anthony et Lionel ne les ont jamais faites. Direction donc Hannut pour la troupe fatiguée où la route n’est pas si longue, parsemée des anecdotes de Tihange et de ses alentours, par Anthony qui connaît très bien la région.

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