Kike me propose pour mon plus grand plaisir, de faire la grotte de l’Epervier. Grotte qu’il ne connait pas et dont la cache qui s’y trouve me fait de l’œil depuis un moment. Gil ne travaillant pas loin servira de contact. On se gare au domaine de Palogne car la carte nous propose un chemin traversant les voies du chemin de fer. On va faire 4 fois le chemin avant de se rendre à l’évidence, on ne pourra pas passer par là, le chemin n’existe plus… On remonte dans la voiture avant de nous garer de l’autre coté des voies. Nous allons bien galérer dans la marche d’approche en prenant le mauvais chemin… Ma faute, oups ^^’’
Etant passé par le ravin, on découvrira un superbe endroit que le club ne connaissait pas 🙂 On va trouver ce qui doit être l’entrée n°2 avant d’arriver à la n°1 que l’on va prendre pour la 3 en se disant que les confrères ont bien bossé… Toute la grotte va être fouillée avant de finalement nous engager dans le couloir où dorment la cache et ses nombreuses gardiennes. Kike trouvant le couloir trop boueux me laissera chercher une 15aine de minute avant que je ne lui demande son aide. Je lui fais remarquer un détail comique et il me dit de chercher à cet endroit. Je lui réponds en prenant la cache en main : « bin non il n’y a rien… ah… si… mais pourquoi tu n’es pas venu plus tôt ??? » Une bien belle petite grotte qui a du potentiel donc bon courage aux copains pour la désob’ ! Par contre, la topo trouvée sur le site du geocaching n’a plus rien avoir avec ce qu’est devenu la grotte !
Une fois de retour près de Gil, j’irai faire trempette dans l’eau en sous-combi avant d’aller boire un verre et manger un bout !
Cette année, c’est la vingtième édition du parcours technique du fort de Barchon et nous l’attendions avec impatience.
Gil, Charlotte, Solenn, Gilles, Laurent, Arnaud (le nouveau), Quentin, DébO, DébA et Amaury se rejoignent en ce vendredi soir vers 20h et admirent en avant première la superbe cascade créée pour l’occasion sur le mur du fort. Ça commence très bien ! Après quelques salutations, nous partons nous équiper et commençons par le parcours E comme étroiture. Nous prenons sous notre aile Marta, une Polonaise que notre copain Géry nous présente. La communication est un peu compliquée mais elle comprend les mots les plus importants et les plus utilisés de la soirée, à savoir longe et boulet ! Vu la taille du groupe, l’attente est un peu longue mais distraite par les blagues débiles de Quentin ! Dans la coupole, vers 22h, Arnaud nous abandonne, il est donc le moment de faire une pause ! La surprise est totale quand nous retrouvons au bar Jérôme et Benja. Après avoir mangé (et dégommer la tradition en évitant la fondue!) et trinqué, c’est autour de Gil de partir au moment où les autres reprennent le parcours. Quentin appréhende le Puits du Chef et décide de mettre son descendeur sur sa longe pour plus de facilité… c’est sans compter sur son moustif qui le lâche en plein milieu de la descente ! On passe le couloir noyé à l’aide de l’embarcation, Solenn et Charlotte ensemble, et nous remarquons vite au toucher du plafond qu’il y a plus d’eau que d’habitude ! Arrivés de l’autre côté, nous cherchons une sortie pour régler le problème de Quentin, sans résultat! Charlotte arrive à défaire le noeud et remplace le moustif, on peut donc continuer. Pendant ce temps, Solenn s’amuse à faire des allés retour dans les trous des murs… On sort enfin sur la façade où nous attend Géry pour quelques clichés. Certains feront le rappel guidé, d’autres le grand tour, pour ce retrouver au bar. Solenn, DébO et Charlotte décident de faire le parcours B, le préféré des filles ! Arrivée sur la tour d’aération, Charlotte fatigue et se rend compte qu’il est 3h30 du matin ! On évite donc les parapluies et descendons directement. Nous finissons le parcours et attendons au bar Laurent, Amaury et DébA qui nous suivaient de loin. C’est vers 5h du matin que nous allons nous coucher.
Debout à 9h pour Amaury, Solenn, DébO, et Charlotte pour quitter les lieux car ces 2 dernières s’envolent pour Majorque ! :p
Elles vont louper tout ce que le Squad a prévu de chouette pour l’occasion: un escape game dans un nouveau parcours, spéléo-box, une soirée-événement…
Laurent et DébA émergent vers midi et petit-déjeunent aux frites ! Ils sont rejoint par Antoine et Yu, qui décide de partir sans faire de parcours. Les 3 acolytes enchaînent les parcours et sont rejoint par Faustine et Quentin. En fin de journée, Yu réapparaît avec Enrique. Antoine finit la sienne dans la cascade, tandis que les valeureux DébA et Laurent doublent les parcours pour finir vers 2h du matin où leur objectif de faire tous les parcours est largement atteint !
Le dimanche, Olivier passera « rapidement » et « juste pour prendre livraison de ses commandes » auprès de SpéléRoc et CanyonZone, il repartira quelques 4 à 5h plus tard ! Sans avoir effectué un seul parcours (si ce n’est peut-être la dernière partie du J)
Une vingtième année dignement fêtée, à l’image du Squad, où comment insérer du neuf dans de l’ancien…un pari gagnant qui nous fait revenir tout les ans.
Après le gros des travaux du 9 mars il restait un peu de mise en peinture à faire et quelques amarrages à poser. Luc ayant mis une première couche la veille (ou l’avant-veille), Olivier, accompagné de Yu, est allé en mettre une seconde, ainsi que poser un double amarrage (une broche + un amarrage foré) afin de sécuriser d’une main-courante l’accès au Number Two. Tant qu’à faire d’être sur place avec la foreuse etc., une seconde broche a été placée en tête du Puits de l’Oppo et quelques AF supplémentaires ont été réalisés afin de doubler diverses monobroches jusqu’en haut du Grand Puits.
Derrière ces acronymes il faut tout simplement entendre qu’Amaury et Olivier ont été rejoindre Stef sur une activité via ferrata de son club, Les Sans Ciel. Laquelle via ferrata est située à Marche-les-Dames, dans le Centre d’entrainement des Commandos ce qui nécessite pour y accéder de présenter au corps de garde sa carte d’identité (quand on l’a !) ainsi que sa carte d’affiliation UBS (normalement celle de l’année en cours re-!) …précautions quelque peu surprenantes quand on voit les trous qui existent dans la clôture à l’opposé du dit corps de garde, mais chuut !
Une fois accomplies ces formalités, on accède rapidement au pied de la paroi où l’on s’équipe et l’on s’élance. N’ayant pas emporté de corde de rappel nous ne ferons ni le shunt ni la descente depuis le grand (40m de long) pont de singe -à noter pour ce dernier l’élasticité du câble inférieure qui fait que -quelque soit votre taille- votre moustif acier se retrouve bien en tension sur le câble supérieur (bonjour la limaille et le pénible elbow !)(et non ! vu le diamètre du câble, pas possible d’utiliser une poulie). La suite du parcours comporte un ressaut -patiné par des générations de combat shoes- et le fameux Tarzan (Youhouu !) puis, à défaut de la corde de rappel déjà mentionnée & face à une barrière qui aurait du être ouverte, nous terminerons en désescaladant la paroi initiale.
La journée se clôturera à la « Pétaudière » où nous échangerons avec nos hôtes projets et considérations diverses (à défaut de refaire le monde de fond en comble).
Finalement ce 30 mars à Ste-Anne, Kike était venu avec Yannick (5ans), Olivier avec Nohan (5ans aussi ), Stef avec Annouk (…5ans !) & Yorick (3ans), Gilles avec sa copinne Wendy et Solenn sans Marthe, sa maman, puisque cette dernière est arrivée toute seule ! Yu & Cha étaient également présentes, avec leur bonne volonté et leur patience (& il en faudra !). Une fois équipé tout ce petit -ou moins petit- monde, quelques consignes, quelques mots d’introduction puis l’on pénètre sous terre, les plus jeunes sans presque se baiser :- ) Plus jeunes qui pourront profiter des deux tyroliennes mises en place à leur seule intention (la tension de celles-ci n’étant pas destinée à des passagers de plus d’une quinzaine de kilos, n’insistez pas !). Arrivé à la Salle de la Cascade les plus petits font demi-tour tandis que les grands se voient amenés jusqu’au Pas-de-la-Mort où une descente en rappel vient compenser la privation de tyrolienne. Ensuite c’est le retour par la Rivière. Le tout est rondement mené et les petits se voient rattrapés au niveau de la Salle des Scouts. A la sortie tout le monde se déclare enchanté de l’expérience. On garde donc l’idée !!
Suite aux travaux nécessités pour le passage de la civière le 16 février, l’entrée du plus profond trou de Belgique était menacée par un bloc instable. Décision fut prise au sein de la Commission Protection-&-Accès de l’UBS de sécuriser cette entrée. Ce qui fut fait ce 9 mars par Paul, Luc, Tanguy, Marc et -pour le RCAE- Olivier. Voici qq photos du chantier :