Tous les articles par Charlotte Durupt

Big Jump

Le Big Jump est un événement que nous attendons tous les ans à la même époque avec impatience. 20min dans de l’eau froide me direz-vous, mais ce weekend champêtre marque le début officiel de l’été où l’air sent bon les vacances. L’objectif initial de cette manifestation est de sensibiliser le public sur la qualité de l’eau de nos rivières.

Cela fait plusieurs mois que des idées de radeau nous trottent dans la tête et elles prendront forme en ce dimanche matin. Amaury motive la troupe avec ses croissants sucrés non feuilletés, Sylvain comparent les différentes chambres à air de tracteur fournies par son cher papa, Charlotte veut y attacher une bouée Donuts, Antoine utilise ses poumons, Robert supervise les travaux, Gil et Vincent customisent une voiture et les flamants roses portent les canettes. Nous voilà partis pour Han-sur-Lesse en cortège lent, voitures gonflées à bloc, dedans et dehors ! Incroyable car en avance, nous sommes les premiers sur place, le drapeau de l’UBS flottant à peine. Il est environ 13h30 quand tout le monde se jette à l’eau. Les 3 flamants roses, attachés à un fauteuil flottant, attaché au Donuts, attaché à notre immense bouée, sont lourds à tirer avec les 3 pagaies et les 5 paires de palme. Sur cet aller-retour jusqu’à l’ancien embarcadère de la grotte touristique, nous croiserons des petits pirates, des copains, des plongeurs qui nous pousseront et même une licorne… Trouvant la trempette un peu courte, la troupe reste patauger dans l’eau sous le regard amusé des touristes. Nos nouveaux copains du SCR nous rejoindront pour tenter une pyramide… Après nous avoir demandé de sortir de l’eau, la bière offerte habituellement aux participants ne sera pas de la partie cette année… dommage. Ce magnifique weekend ensoleillé se terminera autour d’un taboulé et d’un barbecue sur le terrain du gite de Han.

Cette édition aura attirée du monde, pas moins de 90 participants pour passer le mot : pas de poubelle dans nos rivières.

Charlotte

TPDE (temps passé dans l’eau!): environ 3h

Participants: Antoine, Amaury, Sylvain, Gil, Charlotte avec la compagnie de Vincent (Abyss) et Robs (C7)

Photos: Vincent Gerber

Guidage au Trou Manto

C’est lors d’une de ces journées plus que pluvieuses qu’Olivier et Amaury prennent la route de Ben Ahin pour un guidage sportif au système Trou Manto / Grotte Saint-Etienne demandé via le présent site du club. Ils sont arrivés presque en avance tandis que Vincent et Martin, les 2 invités, auront quasi une demi heure de retard. Après l’équipement des novices, ils entament la marche d’approche jusqu’à la cavité avec les explications d’Olivier sur la géologie locale, des plantes calcicoles, une ancienne poudrerie, un train vicinal… Le chemin devient glissant pour accéder à la grotte, on commence par le Trou Manto. La visite sera illustrée par les explications d’Olivier sur la géologie, la formation des concrétions et les chauves-souris, celles-ci, en long, en large et en travers ! Arrivé à la partie qui demande un équipement, on se rend compte de l’apparition d’une dyslexie des chiffres chez Amaury ! En effet, sur les conseils d’Olivier, il prit une  C53 au lieu d’une C35 ! ….heureusement que ce n’était pas l’inverse ! Amaury descendra sur l’équipement d’Oli pour attendre Vincent et Martin et les contre assurer lors de leur descente, pendant qu’Olivier vérifiera leur manip. On se balade dans le bas de la grotte dans tous les petits trous et autres petites salles que l’on peut trouver. Vincent et Martin remonteront par une échelle de spéléo préalablement équipée par Olivier, préalablement enkitée et portée par Amaury par sa plus grande joie ! Pendant qu’Olivier déséquipera cette dernière, Amaury remontera sur la corde initiale et la déséquipera. Arrivé au croisement pour entrer dans la grotte Saint-Étienne, on décide de sortir par cette dernière en souffrant un peu ! Très contents de notre sortie, on a bu un verre tous ensemble pour clôturer cette journée dans la brasserie de l’Élysée (on ne se refuse rien !). Puis Vincent et Martin repartiront tandis qu’Amaury et Olivier commanderont des moules et continueront au vin blanc. Benja les rejoindra à ce moment-là pour ensuite partir tous ensemble direction Namur au Rocher des Grands Malades retrouver Charlotte et leurs collègues du C7.

Amaury

TPST : env. 3h

Participants : Olivier, Amaury + Vincent et Martin (en découverte sportive)

Equipons Senzeille

Comme tous les ans le club GSCT organise un parcours technique dans les carrières de Beauchâteau à Senzeilles. Aucun membre du RCAE ne sera présent lors de cette manifestation, mais Olivier, Gil et Charlotte accepteront l’invitation pour venir aider à équiper cette gigantesque toile d’araignée. Après avoir affronté la chaleur caniculaire, nous arrivons le jeudi soir vers 23h pour retrouver Cédric, Benoît, Marc et compagnie et bien sûr la cochonne, toujours au rendez-vous ! Réveillés au petit matin par le chant des oiseaux et les premiers lève-tôt, nous partons vers 9h avec, pour chacun, son kit, ses cordes, ses moustifs et sa fiche d’équipement. Gil s’occupera du début du parcours débutant, Charlotte de la seconde voie et Olivier, tout en supervisant les deux premiers, de la suivante. Gil joue à l’acrobate tandis que Charlotte, se trompant de voie 2 fois, réinvente quelque peu son morceau de parcours. Avant de tendre le rappel guidé, nous décidons de rejoindre les autres pour manger. Nous reprenons tous les trois l’équipement de Charlotte, la tête en bas ! Vers 16h, Olivier fera tout le parcours débutant pour vérifier l’équipement et ne put s’empêcher d’ajouter un passage de nœud ! Pendant ce temps, Gil et Charlotte s’occuperont du balisage pour indiquer aux futurs participants, les chemins d’accès aux parcours. Vers 18h30, Gerry met un terme à l’équipement et nous rejoint pour les spaghettis et la Cochonne offerte par les organisateurs. Encore une belle journée avec d’autres copains, et en plus, Gil a eu son t-shirt !

Charlotte

Participants RCAE : Olivier, Gil et Charlotte

 

Une très Vilaine source !

Lors des week-ends d’initiation du RCAE, une vilaine source nous sert de machine à laver pour nettoyer le matos utilisé lors des sorties, mais jamais on ne se serait douté que quelques mètres plus haut, se trouvait une grotte incroyable.

Arrivés à Humain  vers 10h, Benja et CaroT en AVANCE, suivis de Sylvain, Antoine, Didier et Charlotte, nous rencontrons nos guides. Répartis en deux groupes, nous serons environ une quinzaine à découvrir ce lieu magique. Guidés par Fred et Alain, nous franchissons 3 portes et plusieurs éboulis pour atterrir dans de grands volumes. Les salles se suivent, toutes remplies de concrétions en tout genre. Des stalactites torsadées, de petits sapins de boue, des dunes calcifiées. 2 particularités surprennent les invités : une formation boueuse accrochée à la paroi ressemblant à une façade d’immeuble et surtout ce trait circulaire autour de certaines stalagmites faisant penser à un message codé venant d’un autre monde! Au fond de la cavité, nous rejoignons la fameuse vilaine source et c’est tout au bout que nous croisons l’autre groupe. Un second Alain et Jean-Paul se greffent à notre troupe et nous proposent de ramper dans l’eau pour voir le siphon…challenge accepté ! Trempés, nous décidons de faire une pause goûter tandis que Benja prend de l’avance pour immortaliser la sortie. Sur le retour, il prit quelques-uns d’entre nous en otage pour apporter de la lumière. Fred et Charlotte s’enfuient en premiers, suivi de loin par Alain, Didier et Sylvain. A cause de cette échappée, pas de photo de groupe souterraine, mais plutôt ensoleillée à la sortie, devant cette vilaine source, qui est bien loin de l’être. Après avoir nettoyé notre matos perso, nous terminons la journée à la friterie habituelle !

Nous remercions tous les membres de la SSN pour nous avoir fait découvrir ce merveilleux site et plus particulièrement Fred, Alain et Alain, pour leur patience, leur aide et leur gentillesse.

Charlotte

TPST : 3h30

Participants : Benja, CaroT, Sylvain, Antoine, Didier et Charlotte

Photo : Charlotte (en rapide!) et Benja (en mieux !)

https://bengiscan.pixieset.com/vilainesourcebe/

Traversée Chawresse-Véronika à la Rochefort !

C’est par un matin ensoleillé que nous accueillons sur le parking du Bois des Manants les membres du Spéléo Club de Rochefort. L’objectif de la journée : leur faire découvrir les joies de la traversée Chaweresse-Véronika ! C’est en professionnels que nous leur décrivons notre progression à l’aide de l’immense topo apportée par Sylvain. On rappelle qu’il n’y a qu’un passage étroit, situé à l’entrée, qu’une fois passé le reste ira tout seul… Une fois équipés, les 8 participants entament la petite marche pour arriver à la buse d’entrée. Charlotte, Sylvain et Antoine se répartissent dans le groupe et entament la descente des cheminées. Lors de celle-ci, malheureusement, Marjolaine glisse et se fait mal à la cheville. Plus possible pour elle de continuer. Pendant que le reste des participants se regroupe à la salle basse, Marjolaine, la parfaite victime qu’on aimerait tous avoir, s’auto-extrait de la grotte (avant de se conduire elle même à l’hôpital !) talonnée par Sam et Sylvain. Débute alors pour le reste du groupe, une succession de passages tortueusement boueux ! Guidé par les souvenirs d’Antoine et les micros fiches topo (plastifiées !!!) de Charlotte, le groupe progresse rapidement et (presque) sans se perdre. Sylvain et Sam nous rejoignent et nous enchaînons les passages clés (dont cinq étroits un peu oubliés par les guides) jusqu’à la Galerie des Rotules qui marque la presque fin de la traversée. Petite visite et photos souvenir dans Véronika avant de retrouver nos copains de La Cordée au niveau du tunnel de la CILE.  Avant de partir, Marjolaine a pensé à mettre les bières dans la voiture de Charlotte (parfaite je vous dis !) et c’est donc sur le parking que la troupe partagera le verre de l’amitié avant de se séparer.

Habituellement, c’est nous les guidés et c’est nous qui apportons la traditionnelle bouteille de remerciement. Pour notre première fois, c’est nous qui l’avons reçu. Et pour notre premier guidage sans les grands, avec fierté et solennellement, nous l’avons bu tous les 3 à la santé des Rochefortois. En plus, c’était du Woodberry !

TPS : 3H30

Participants RCAE : Antoine, Charlotte, Sylvain

La Fosse-aux-Ours

Aujourd’hui, c’est une autre grotte exceptionnelle et fermée que nous allons visiter, la Fosses aux Ours. (FOA). Nous avons RDV avec Kris Carlier sur le parking à l’entrée de Rochefort à 12:30. D’emblée, il nous accueille avec un premier topo sur la morphologie de l’endroit, carte à l’appui, et un historique sur la prospection des lieux (pas seulement la FOA, mais toutes les dolines qui jalonnent la vallée). La prospection semble être une belle aventure, menée conjointement par des clubs des deux parties du pays, ce qui vaut le mérite d’être souligné. D’autres grottes ont souffert des rivalités de ceux qui les prospectent, et la preuve que le contraire est possible, fait aussi partie du message à transmettre aux générations futures. Nous voici donc en route vers l’entrée de la FOA. Kris nous explique les déboires avec un voisin longtemps resté anonyme qui n’avait de cesse de reboucher l’entrée avec des débris divers. Y compris, une fois, avec des spéléos dans la grotte. C’est maintenant du passé, et nous voilà parti dans la fissure agrandie qui sert d’entrée.
Un peu de ramping, quelques passage (pas trop) étroits nous amène à un carrefour. Nous empruntons une des branches pour faire l’aller retour dans ce qui est la galerie la plus concrétionnée de la grotte. Goures, cierges, un disque de toute beauté et bien d’autre merveilles se dévoilent. L’aller est agrémenté des explications de Kris, et le retour des photos de Benja. Sylvain, consciencieux, participe aux deux avec la même attention.
Tout est balisé. Certains passages sont scabreux, et Kris veille à ce que, dans le balisage, nous respections bien les pas à faire, là où mettre les pieds,  pour éviter autant se faire que peut les salissures de la boue qui nous accompagne. De retour au carrefour, Kris nous emmène dans une autre salle, remplie de cristaux et de fossiles. Pendant que Benjamin continue ses photos, Sylvain et Kris visitent la salle et collectent quelques cristaux. On s’attaque alors à la troisième partie de la visite, le passage qui mène au siphon. En route, nous faisons une halte « désob » pour agrandir un passage qui se rempli de boue avec les aléas des crues. Une fois le job terminé, on arrive dans la salles du lac. Elle impressionne par sa taille et son activité. Deux rivières souterraines s’y rejoignent, la Lomme et la Wamme. Une main courante sur les parois boueuses de la salle nous amène à une autre galerie, qui signale le chemin de retour. Sous les conseils bienveillants de Kris, nous rejoignons la sortie sans encombre. Le soleil nous accueille et nous rappelle à nos obligations, mais avec la promesse de revenir. Sylvain doit partir en Bourgogne et Benjamin est attendu à Liège, donc le traditionnel verre est remis à une prochaine visite. On Remercie Kris pour cet après-midi très belle et très instructive.
Benja
Participant: Sylvain et Benjamin, Guide: Kris Carlier (club SC Cascade)
TPST: 4h30
Photos: Benja https://bengiscan.pixieset.com/fosseauxours/

Chantoire de Ronsombeux

Peu mais motivés, Amaury, Enrique et Arnaud prennent la route d’Ozo près de Barvaux, dans la région de Durbuy pour découvrir le chantoire de Ronsombeux. Dans le chemin qui y mène, Amaury testa l’option 4×4 de sa jolie Citroën C3 bleu turquoise, mais se rendit vite compte qu’il fallait plutôt faire demi-tour ! Après s’être équipés et avoir traversé le pré, ils ont quelques difficultés à ouvrir la porte. C’est Amaury qui équipera supervisé par ses deux comparses. Durant la descente, ces 2 derniers ont réfléchi comment rafraîchir la grotte question amarrages, pour faire un rapport à la CPA et la ComForm. Il y a eu une longue discussion sur la présence d’une déviation au milieu du 2e puits qui donnera la conclusion qu’un amarrage faciliterait sa mise en place. Le dernier ressaut a été compliqué au retour et Arnaud s’est occupé du déséquipement. Ils clôtureront la journée autour d’un verre à Bomal.

Amaury

TPST : environ 3h

Participants : Arnaud, Enrique et Amaury

Chantier au Four-à-Chaux

En région liégeoise, dans la petite ville d’Esneux, deux cavités bien différentes peuvent offrir une traversée. En effet, l’Abime de Beaumont jonctionne avec la grotte du Four à Chaux par une étroiture. Mais cette dernière est très instable et présente des risques d’éboulements. Le club Continent 7, indépendamment du CPA, décide de faire quelques travaux pour rentre ce passage plus sur. Sous la supervision du célèbre Robert, ils commencèrent les travaux il y a très longtemps, en apportant le matériel nécessaire, ajoutant des étançons ici et là.

Après une pause de plusieurs mois, le CPA les contacte pour leur donner un coup de main et demande de l’aide à la communauté spéléo pour finir le chantier. Le RCAE répond évidement présent. Cela va se dérouler en 2 temps; la 1ere journée est la préparation et l’installation du chantier. La 2e journée, prévue en septembre avec les Sans Ciels sera le passage d’un tuyau d’eau pour confectionner le béton définitif et le poser à ce moment là.

Le rendez vous est donner ce samedi 1er avril, à 10h à Esneux. Sylvain, Solenn, Antoine, Colin rejoignent Robert, Thomas, Stéphane et Greg devant l’entrée de la grotte du Four à Chaux. Ils commencent à débroussailler le chemin qui mène à la grotte pour faire passer une voiture et sa remorque contenant tout le matériel nécessaire aux futurs travaux. Puis ils adoptent une technique pour monter tout le matos sans trop galérer; après avoir mis le sable dans des kits, il faut passer la salle d’entrée, enjamber un précipice (si,si), les installer au bout d’une corde pour les faire monter un par un une pente étroite d’environ 8m. Un système de chaine humaine s’organise alors pour tirer en même temps et le décoincer par la même occasion.

Caro et Charlotte les rejoignent vers 13h. Opérationnelles seulement à 14h, elles se joignent à la troupe et prennent place dans la chaine pour monter sable et ciment jusqu’à l’étroiture.
Malgré les bras cassés que nous sommes, nous arrivons à coordonner nos mouvements pour réussir à monter 10 sacs de 25 kg de ciment à prise rapide (en n’en perçant seulement 2-3, 10% de perte non?!) et tout le sable de la remorque. Excès de zèle sur ce coup là, Robs nous prévient après que la moitié suffisait! Il demande la présence de 2 petits gabarits pour l’aider dans l’étroiture pendant que les autres dégageront les déchets et sacs de ciments à prise lente déjà présent, hors de la grotte. Solenn et Charlotte feront du ciment pour la première fois sous les recommandations de Robs, couché dans l’étroiture, se cimentant lui même! Solenn tenta de remuer la mixture avec ses doigts car «c’est quand même plus facile» mais se rendit vite compte que c’était loin d’être l’idée du siècle! De retour à l’extérieur, les autres ont déjà commencé l’apéro pendant que Stéphane s’occupe du feu. On finira cette journée efficace par un barbeuc… sous la pluie!

Hotton

C’est le sympathique Spéléo Club de Belgique qui nous ouvre les portes du réseau non touristique de la grotte de Hotton en ce samedi après-midi.

Accompagnés par le C7, Antoine, Caro, Déb’A, Benja, Nico, Sylvain, commencent à s’équiper en attendant l’éternelle retardataire. A l’arrivée de Charlotte, 2 groupes se créaient. Mis à part Benja -que nous snobons car nous l’avons entendu dire « photos »- et Nico, nous nous retrouvons dans le second départ guidé par [??] et Robert, et accompagnés par Greg (C7). On emprunte l’ascenseur puis l’escalier principal de la zone touristique. Robs nous demande de ne pas faire le toboggan réservé aux enfants (juste pour voir si vous lisez les autres résumés !) pour rejoindre le puits Atlas Copco, la porte du réseau non touristique. Après avoir crapahuté dans la boue et traversé une grosse mare grâce à un pont-de-singe fixé à la paroi, le passage concrétionné se rétrécit pour arriver dans une grande salle.

On goûte. Nous croisons l’autre groupe.

Au retour, Robs ne peut s’empêcher de jeter un caillou dans l’eau lors de la pose photo de Sisi et Caro sur le pont-de-singe. On traverse la partie touristique en profitant des lumières lors d’un passage de touristes et visitons.